KATAMOUN
Vient de paraître
APPELEZ-MOI KATAMOUN
Format eBook
Format Broché
Froid et dangereux comme un Mamba noir, le Fossoyeur phocéen entame un bras de fer à la vie à la
mort contre le plus célèbre des détectives privés, Marius Lagâche. Pour des raisons de sécurité
évidentes, ce dernier a fini par adopter le patronyme de son créateur, Katamoun.
Sur la feuille de route assassine du psychopathe au sang froid, quatre innocents en guise d'amuse-
bouche avant de s'attaquer au plat de résistance, la mort programmée de son ennemi désigné, le
pourfendeur des mauvaises âmes, Katamoun.
Au bout du compte, entre le bien et le mal, l'issue de la lutte est plus qu'incertaine. Mais puisqu'il
faut un vainqueur et un vaincu, qui triomphera de ce combat sans merci ?
Un polar prenant, envoûtant, passionnant. De suspense en rebondissements, il tient le lecteur en
haleine jusqu'au bout de la nuit.
Vous aussi, laissez-vous emporter dans cette enquête folle et traquez le plus machiavélique des
tueurs en série, le Fossoyeur phocéen.
A propos de Katamoun
Comme il est dit, « le journalisme mène à tout, à condition d'en sortir. »
De la presse à l'écriture de romans policiers, j'ai franchi le pas avec bonheur.
De nombreux lecteurs m'interrogent sur l'origine de mon pseudonyme, Katamoun.
Permettez, amis lecteurs, que je vous raconte la genèse de cette longue et attendrissante histoire.
Elle remonte à un temps où la télévision de grand-papa faisait ses premiers balbutiements
cathodiques, quand les enfants s'endormaient en lisant les aventures fantastiques de leurs héros
préférés : le Capitaine Fracasse, les Trois Mousquetaires ou bien, comme moi, le cow-boy justicier,
Catamount, un personnage de légende enfanté sous la plume Albert Bonneau (1898-1963).
Catamount, puma ou chat sauvage dans certaines langues indiennes, est un nom qu'Albert
Bonneau a emprunté à Fenimore Cooper dans le Dernier des Mohicans. Sous l'encre de cet écrivain
populaire aux mille livres et aux douze pseudonymes, il a peuplé mes rêves d'enfant, et occupe
depuis une place privilégié dans mon cœur et mes souvenirs.
Parfois, je me revois, encore bambin, demander à mon papa : « Tu me racontes Catamount,
s'il te plaît, raconte. » Et il me racontait une fois, dix fois, les péripéties de cet héros invincible,
épris de justice, plus fort que Zorro et plus malin qu'Arsène Lupin. J'étais aux anges et je rêvais d'un avenir identique.
Tout naturellement, je me suis tourné vers Catamount pour conter les aventures du truculent
Marius, m'offrant ainsi la liberté d'accommoder cet idiome exotique sous la forme de Katamoun. »
Alors, désormais, « Appelez-moi Katamoun. »